Tubbie Salut, voici, j'étais nu devant ma fenêtre à écouter du Patrick Bruel et à boire du Jack Daniels et je me suis dit, qu'il manquait quelque chose sur ce blog. De la photo, of course, alors comme ça je me suis mis en mode "Œil-du-caca" pour chercher des artistes paumés. J'ai trouvé du Gao Hui, du Munther Jawabreh, mais c'est de Marshall Vernet dont je vais disserter, lâchant par la même occasion le zizi que Bruel me faisait tenir. Le travail de Marshall c'est un peu comme tomber sur une bonne chanson de Michel Berger après un plongeon dans sa dépressive musicothèque. C'est joli, c'est frais,...
Arf, apnée terminée, 178 épisodes de sous-intrigue aussi intéressantes que Pawn Stars, d'effets spéciaux épileptiques, de coups traditionnels du tennis renommés de manière folklorique avec un petit plus délirant à la limite du schlinguant, des persos tous plus improbables les uns que les autres, un protagoniste encore un petit con invaincu, on mixe tout ça, on chie dans le mixer, on touille avec son petit doigt, on dispose, servir chaud. Nom du plat: Prince du Tennis, cuisine japonaise.
Comme le nom l'indique, Prince du Tennis est une série TV de sport parlant de curling. Pour les séries de sport...
Tubbie bonjour, après mon visionnage amusé de Zootopia, je me suis dit qu'il me fallait partager cette passion, non pas pour les films d'animation, elle n'est plus à prouver, encore moins pour les films d'animation débiles, mais pour les animaux, j'aime les animaux, ça fond dans la bouche, en tout bien tout honneur évidemment. Je me suis décidé cahin caha, pendant que mon collègue ronflait et bavait sur son oreiller, à faire un vrac de sculptures/peintures animalières avec des techniques toutes plus improbables. Dans la majorité des cas, ces artistes sont contemporains de nous et nous gratifient...
Plop les communistes, nous sommes en juillet, j'aime pas l'été, du coup je me venge sur la Game Gear qu'il va falloir présenter pour les coupains. Avec Victoria Silvstedt qui présente la bête et Michel Drucker qui nous détaille ses caractéristiques on va devenir célèbres! Sur le papier c'était de la bombe, en vrai, ça tombe, c'est tout sauf portable, la ludothèque est pas SI magique que ça mais comparé à la Jaguar, ça se joue. C'est la première console portable en couleur, l'autonomie est faiblarde (4 heures), l'écran est rétroéclairé comme la Game Boy Light et Advance quelques années plus tard,...
Le hasard fait bien les choses, les romans jeunesse, oui encore, sont souvent agrémentés d'illustrations plus ou moins qualitatives. Dans le cas qui nous intéresse, on pourrait rapprocher le travail de Le Faucon déniché de n'importe quel bouquin de la Grande Dame Brisou Pellen, maîtresse incontestée du roman graphique jeunesse. La couverture est grandiose, les descriptions accompagnent habilement les dessins, on s'amuse à chercher les différences, si différences il y a, vous l'avez compris, j'aime ce genre de quinbous, tellement que j'en écris des èmepos.
Jean-Côme Noguès a peu écrit, pour mon...
Je ne ferai qu'une fois ce petit pied de nez pas piqué des hannetons mais ce quinbou est méprisable. LOL. Voilà, ça c'est fait. S'il y a bien une chose que j'admire chez les critiques littéraires c'est la propension à mettre des réflexions sur la société, la vie, la modernité, l'homme aime la réflexion, aussi comme il n'a pas le temps de penser, l'écrivain le fait pour lui, sauf qu'ici, on s'en serait bien passé. Le Mépris d'Alberto Moravia est surnoté, survalué, à un point que ça en devient honteux, l'histoire tient en une demi-ligne, oui c'est sûr ça touche tout un chacun et c'est ça qui est...
Je suis mitigé. Soyons clairs dès le début. Je suis mitigé, je ne le répèterai pas. Car cette après-midi mon monde a été chamboulé. Je regardais un mini résumé des Anges de la téléréalité quand tout à coup je me suis dit dans ma belle tête bouclée: Et si je jouais à Nigell Mansell's World Championship Racing? Aussi appelé NMWCR pour les titimes. Un bon gros jeu à licence d'un émérite moustachu de la F1, au même titre que Prost et Seynna. Si ce sport a tendance à s'essouffler avec la longue hégémonie de Mercedes-Lewis Hamilton, notre extrait du corpus, notre jeu, paucis verbis, nous montre l'âge...
Du roman policier britannique on connaît Agatha Christie, Conan Doyle... Oui, Higgins Clark est américaine, tu peux effacer le début de ton commentaire. Pourtant on connaît moins Dorothy L Sayers, Patricia Wentworth dont les personnages ont officié avant notre bien aimé Poirot et après le Sherlock, pour cette dernière du moins. On peut de fait la porter en pionnière du whodunit. Mais d'abord, définissons le genre, voulez-vous? Nous avons une situation initiale, des personnages tous présentés, ou les plus importants, un cadre bien défini, et à un moment bien précis, un évènement tragique, vol, meurtre,...
Attention l'article que vous vous apprêtez à lire a été écrit par un rustre employant un langage peu châtié et est également susceptible de contenir les éléments suivants : des fautes d’orthographe et/ou de grammaire, des blagues sales et de mauvais gout et éventuellement du second degré (mais juste un peu). Ceux qui ont lu mon bilan de 2015 le savent, Green Room était l'une de mes plus grosses attentes de l'année. (Et ceux qui n'ont pas lu mon article ferait bien de décamper de cette page pour aller voir mon bilan... Allez zou ! Tire toi de là racaille ! Et ne revient que quand tu te seras cultivé...
Faisons un colossal saut dans le temps, du romantisme, passons au cubisme et à tous les sous-genres en découlant. L'orphisme se caractérise par une étude de la lumière et de la couleur, car, rappelons le mythe, Eurydice et Orphée sortent enfin des Enfers, après d'âpres négociations avec le Grand Méchant, mais, parvenus devant la douce lumière, Eurydice trébuche, cette gourde, Orphée se retourne et la perd, à tout jamais cette fois. L'orphisme est donc un courant assez mystico-bobo où un chemin est dessiné devant nous, au mépris des règles et des conventions établies. Cette dangereuse secte est...
Tubbie Bonjour! J'ai du mal avec les romans d'équitation, pourtant, je me dois d'être parfaitement franc, j'ai bien aimé ce bouquin, c'est un bon roman mais un puant roman de jeunesse, il n'est clairement pas adapté à nos marmots. Autopsie de suite, de Flamme, une jument de feu, de Victoria Holmes. Oui, vous vous dites que vu son nom, ce roman est une merde, et vous vous tromperez comme les pitoyables vermines capitalistes que vous êtes, j'ai été agréablement surpris en fait...C'est rare... Parlons de l'auteur. On pourrait se dire que c'est encore une insupportable mère de famille sans imagination...
J'aime la Lynx, déjà parce que tout le monde s'en fout, mais aussi parce que y a au moins deux jeux qui me font triper, Rampage et Rygar., rien que pour le yo-yo maléfique. L'Atari Lynx est sorti en même temps que la Game Boy, oui on dit "la", silence infidèles! L'histoire n'a pas retenu cette console, il faut dire que le Grand A commençait un peu à s'essouffler. Sur le papier, les performances de la console étaient supérieures à la GB, écran rétroéclairé, multi possible jusqu'à 8, mais le manque de jeux a tué la console. Le jeu, enfin jeu c'est un bien grand mot, qui nous intéresse ici est Malibu...
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