Yo, mes p'tites chattes! Revoiilà le vilain barbu qui profite du système, parce que la vie c'est de la merde. Et quoi de mieux qu'un bon gros jeu à licence de Titus, le o combien célèbre créateur de Superman 64? Vous revoilà mes petites crottes sur Nux FM, c'est votre serviteur. Aujourd'hui au programme, le Blues Brother Jukebox Adventure de 1993, suite directe de celui de 91, bien évidemment tiré du film du même nom. Enfin. Sans le Jukebox adventure hu? FIgurez vous, mes crevettes transgéniques, que c'est pas le premier jeu que je teste de TItus sur PC. Moktar la Zoubida y était passé, en ninja,...
Argh. Et oui. On aborde les choses qui fâchent. Un RPG sur PC. C'est un peu mes bichons. Le nombre de journées passées à camper mes MMO à entretenir ma guilde. Sauf que là on a un jeu bien root de 1989 d'Infogrames. J'ai nommé Drakkhen. Une version SNES existe, c'est moins détaillé. Plus dépouillé aussi. Je vous avoue que je m'attendais à passer un bon moment en laissant ce jeu. Le manuel claque tout. La cover est cool. Une bonne grosse voix nous accueille avec une langue exotique. Constat? Re-argh. On commence par créer nos personnages, j'opte pour une équipe agressive guerrier-guerrier-clerc-mago....
Tout ça est bien mystérieux. Ne posons pas trop de questions. Priam, roi de Troie, est le grand père d'Astyanax, qu'on retrouve dans ce jeu de Jaleco sur NES. Si l'on me demandait le pourquoi du comment, je ne saurai répondre, par Hector! Pourquoi un héros de la mythologie troyenne se retrouve dans un monde moderne et est ensuite téléporté ailleurs par une petite fée capricieuse? Pourquoi lui? Pourquoi pas Emmanuel Macron? Avouez que ça en jetterait grave! Emmanuel contre les vilains seigneurs féodaux pour réaliser son GRAND projet et leur péter la gueule! EN MARCHE! EN MARCHE! Mais non. Astyanax....
Tout commence par un loop de musique en boucle, un truc qui laisse présager du pire. Et alors, dès le niveau 2, je suis bloqué, ça commence bien nomdediou. Je fouine je vais chercher si des malades ont bien fait des reviews sur le jeu et là je m'aperçois que le seul l'UNIQUE AVGN a bien testé le jeu. Ô joie... C'est là que je me dis que je suis ENCORE tombé sur une daube. The Adventures of Rocky and Bullwinkle. J'aurais pu m'en douter il est vrai, un jeu tiré de cette série n'aurait pu être bon en aucun cas. Mais je m'avance sans à-priori. C'est édité par THQ, ça peut pas être mauvais! (D'ailleurs...
Je pige pas ce jeu. Du tout. Pourtant j'ai fait mes recherches juré. Chou blanc. Pourtant il est à 60% sur Metacritic, certes, ça se trouve, trois personnes ont voté pour et n'ont joué qu'à ce jeu sur notre sempiternelle GBA. J'enchaîne avec un combo SNES ensuite, promis. Ce jeu? Je l'ai toujours pas présenté. c'est Urban Yeti. Pour présenter la bête, on a un GTA-like avec un yéti, des passants agressifs comme pas deux, une maniabilité qui pue la merde, une soundtrack vomitive, des minis-jeux sans intérêt, et en plus c'est laid. Je crois que j'ai tout dit. Salut! Sans déconner. Je crois que j'ai...
Coucou namasté! Pour oublier que le monde va mal l'on se réfugie en général dans une passion, d'où l'on ne sort que trop rarement pour éviter de payer ses impôts, parler à son conseiller pôle emploi et j'en passe. Mais quand deux passions se réunissent dans une c'est la fête. Ici, Comix Zone réunit bande dessinée et jeu vidéo, on avait eu des adaptations de Tintin, Spirou, Lucky Luke côté Belgique et les innombrables jeux DC et Marvel côté ricain. On oublie trop souvent Comix Zone, déjà parce qu'en physique cet enculé vaut une blinde, anyway. Sorti en fin de vie de la Megadrive en 1995, le jeu...
Classé par IGN comme le second meilleur jeu de course sur la GBA, Banjo Pilot est une bonne surprise, un truc à cheval entre les bosses de Diddy King Racing et le nerveux de Road Redemption, il est ici fortement conseillé de tabasser ses adversaires pour remporter les courses. Développé par (évidemment) Rare et édité par THQ, le jeu surprend par ses contrôles en 3 dimensions et son jeu nerveux. Au delà de ça, la musique rentre, hélas, dans la tête, il suffit d'écouter la piste dédiée à Gruntilda pour s'en rendre compte très vite, mais aussi et surtout, j'ai fini le jeu en deux heures... Me rapprochant...
Faisons un test, si je vous demande de me citer le meilleur James Bond porté sur nos écrans de jeux, il y a de grandes choses qu'au moins la moitié d'entre vous me sorte Golden Eye 64 ou éventuellement Quitte ou double PS2. Mais je doute qu'une seule personne me chuchote à l'oreille, il aura sûrement honte, le nom de Nightfire GBAI C'est un FPS sorti en 2003 chez nous, édité par Electronic Arts et développé par JV Games, n'allez pas voir leur ludothèque, leur dernier jeu sorti est à pisser de rire. Je vous vois venir d'ici, un FPS sur GBA? Oui oui tout à fait, c'est pas le seul, on a le très bon...
Ah si j'avais une foreuse, le nombre de tunnels que je ferais pour avoir une route perso. Je serai plus heureux, je pourrais faire des trous partout, dans les corps de ceux qui ne méritent pas de vivre et surtout je pourrai tuner mon vélo! Alors oui je sais, au vu de l'image, on se dit que c'est tout mignon, tout rigoulou, et oui c'est vrai que ça l'est. Comme ça, à chaud, l'héroïne ressemble à Sid Valys, et son monde est tout kawaii comme dans un bon gros épisode des Supernanas. Mais non, ce n'est pas un énième jeu chelou, celui-ci vient du Big N, le leader incontesté du marché fut-un-temps et...
Les jeux d'évasion me font chier. C'est dit. Et y aura pas de mais avec celui-ci. Il fait partie d'une trilogie (dont je me serai bien passé puisqu'en en achetant un j'ai eu les deux autres, anyway) comprenant Absconding Zatwor, Break into Zatwor, et Fiends of imprisonment. C'est de ce dernier dont nous allons disserter. 900 de vos camarades ont été capturés par l'ennemi. Au lieu d'envoyer un négociateur, le GIGN ou le RAID, on envoie un péon (crise oblige) que vous jouerez qui devra s'infiltrer dans une base ennemie qui visiblement a été conçue par un mélange de proviseur de lycée et d'ingénieur...
Hell Yeah Wrath of the dead rabbit m'a pété les yeux, littéralement, au point que j'ai dû enfiler mes plus belles lunettes pour y jouer sans risquer une grave maladie des yeux. Le jeu date de 2012, édité par Sega et développé par Arkedo, qui n'existe malheureusement plus. Le rendu final est une sorte d'indé violent, immature, débile cartoonesque et quelque peu nerveux et abîmeur de clavier. C'est l'histoire d'Ash, le maître des enfers, un lapin aussi, qui se voit obligé de buter 100 monstres pour préserver sa crédibilité. Ash est stupide, psychopathe et arrogant, ce qui fait son charme à vrai dire....
Ah Devolver Digital, quoi qu'on dise y a une patte derrière cet éditeur, le pixel art, le gore, les graphismes soignés, toussa toussa, oh au fait, bonne année, encore une de plus à ajouter au compteur. J'en perds mes moyens, m'approcher de la ménopause et du cancer de la prostate, ça fait pas bander. Revenons à nos moutons! Récemment j'ai joué à Fistful of gun sur PC, mes copains Steam en témoigneront, et c'est là que je me suis dit, que ça ressemblait vachement à Broforce. De là, telle une coulée de boue au Rajashtan, je suis parti faire des recherches. Et c'est le même éditeur que Hotline Miami,...