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Le Monde merveilleux du caca La culture c'est aussi des oeuvres inavouées...

Le Blues sans Starmania

Nux

Yo, mes p'tites chattes! Revoiilà le vilain barbu qui profite du système, parce que la vie c'est de la merde. Et quoi de mieux qu'un bon gros jeu à licence de Titus, le o combien célèbre créateur de Superman 64? Vous revoilà mes petites crottes sur Nux FM, c'est votre serviteur. Aujourd'hui au programme, le Blues Brother Jukebox Adventure de 1993, suite directe de celui de 91, bien évidemment tiré du film du même nom. Enfin. Sans le Jukebox adventure hu? 

 FIgurez vous, mes crevettes transgéniques, que c'est pas le premier jeu que je teste de TItus sur PC. Moktar la Zoubida y était passé, en ninja, sans que je poste. Bizarrement, la communauté rétro-pc s'enflamme pour ce truc, comme quoi c'est un jeu de plateforme méga libre et délirant. Perso. Je me contenterai d'un bof peu enjoué. J'aurai aimé que les Blues Brother soient skillés, mais bon. Meh. Un simple détail ruine tout, nous verrons.  Je me suis balancé du Twelve Bar Blues Band pour jouer. Pour ma défense, la musique du film rend vite foufou en boucle. Bien que très jolie hein, c'est pas la question. Alors que ce bon gros groupe met une ambiance diablement sexy. Un truc qui donne envie d'aller voir des vrais gens.

Mais revenons à nos deux porteurs de chapeaux. On a droit à de la pure plateforme, évidemment. Un bouton pour tirer, les flèches pour se déplacer, haut pour sauter. Voilà, ça c'est bazardé. Le personnage répond bien, on a les traditionnels niveaux récurrents, les égouts, les hangars. Celui que j'ai mis en image me fait irrationnellement penser au premier niveau de Jekyll & Hyde sur NES. Mais je suis un névrosé. Et un crétin. C'est zoli en tout cas, et j'adore voir le petit gros danser quand il est inactif, des fois je trémousse même le pied avec lui. Par réflexe. Et solidarité masculine. Mais c'est là qu'un constat s'offre à nous, le jeu est facile. Trop. Je me demande du coup si je deviens bon. Mais non. Les ennemis ne nous blessent pas. Et on ne perd aucune vie. AUCUNE. Même en se jetant dans des lasers, d'ailleurs le seul ennemi qui nous bute, avec les trous. Du coup, on se promène, et seul le timer offre un challenge. Alors, oui, c'est peut-être un choix. Mais pourquoi on a une barre de vie? Serait-ce un oubli? J'en ris. J'en ris beaucoup. Mais bon, ça reste plaisant. Pour le petit frère de 8 ans. Mais MOI!! Bordel je me fais chier. J'en suis réduit à me donner des challenges, éviter les ennemis, comme si ils faisaient mal. Meh.

Après j'ai comme une théorie. Qui me vient tout d'un instant comme un zibouiboui maléfique. L'histoire parle d'un jukebox qui aurait aspiré les deux bonzommes dans un monde hostile. Enfin hostile, c'est pas non plus l'enfer de Drakkhen. AHA! C'est malin, une référence à un de mes articles! MALYNX! Du coup, le monde du jukebox. Et ben en fait, il est plus clément. Parce que dans le film, ils doivent trouver du fric, du flouze, des pépètes, et non pas des notes de musique. 

Come quoi. Le monde réel, ça pue. 

Enfin, bizarrement. Celui de 91 me hype plus, on doit échapper aux keufs. ACAB!!

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